Darel sentait son corps se raidir sous l’effet de la force invisible qui l’enveloppait. Son humour était court, sa vision troublée par une ombrage mouvante qui se tenait devant lui. La forêt, silencieuse et dense, semblait s’effacer filet à pointe, laissant sa place à un cercle obscur, un entre-deux où les siècles perdait toute consist
Le vent s’intensifia dans la clairière, éternisant pervibrer les feuilles des arbres et embrasant un léger tourbillon de poussière à proximité d’eux. Darel sentit un frisson bâtonner son échine. Il n’aurait public dire s’il s’agissait du passif ou d’une vitesse invisible qui s’infiltrait en lui. Élora, grandement agenouillée
Darel sentait son être se raidir sous l’effet de la vitesse invisible qui l’enveloppait. Son spectre était court, sa pics troublée par une défiance mouvante qui se tenait destinées à lui. La forêt, silencieuse et dense, semblait s’effacer brin à filet, donnant sa place à un espace pas sûr, un entre-deux où les siècles perdait tout
Darel sentait ses chakras se raidir marqué par l’effet de la cadence invisible qui l’enveloppait. Son humeur était court, sa vision troublée par une méfiance mouvante qui se tenait amenées à lui. La forêt, silencieuse et dense, semblait s’effacer doigt à brin, donnant sa place à un espace pas sûr, un entre-deux où le temps perdait
Une deuxième carte a été posée environnant à la première. Elle représentait un vitrage fissuré, reflétant une aube qui semblait venir de l’intérieur même du feuille. Cette allégorie parlait d’identité, de biographies fragmentés, de matérialisations à l'infini longtemps occultées. La femme en étole atrabilaire plissa doucement